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Prix littéraire UNA ALAT
et Bibliothèque ALAT

Tous les ans, le prix littéraire de l'UNA ALAT est remis, après délibération de la commission présidée par le Général Allard, à un membre de notre communauté.

Nous vous proposons aussi les dernières publications concernant les ouvrages ayant reçu le prix littéraire de l'UNA ALAT, ainsi que d'autres nous paraissant intéressants.

Pour avoir une sélection complète des ouvrages déjà édités, reportez-vous sur notre site de mémoire à cette page : https://www.alat.fr/mediatheque-bibliotheque.html

"Les commentaires concernant les ouvrages présentés ci-dessous n'engagent que leur auteur.

Les prix sont indicatifs et peuvent varier suivant les revendeurs."

Prix littéraire UNA-ALAT 2023

Le prix littéraire à été attribué cette année à Yves Broyer pour sa contribution mémorielle sur Facebook.

 

A travers cette distinction, récompensant une très longue et ancienne carrière, nous voulons justement encourager les contributions à l’espace de dialogue et de mémoire que constituent les réseaux sociaux.

Jean-Claude Allard, La Grande Motte, le 23 novembre 2023

Major,

Vous êtes né le 8 février 1939 à Vergisson en Saône-et-Loire au sein d’une famille de trois enfants, élevé par votre mère et par les pères Salésiens. Des éducateurs extraordinaires dites-vous, qui vous ont donné le goût du travail bien fait et de la rigueur qui a guidé toute votre vie militaire, aéronautique et personnelle. Vous n‘avez pas pour autant opté pour une vie monacale, dévoré dès votre adolescence par la passion de l’aéronautique.

Pour assouvir cette passion deux belles filles vous tendent les bras l’aéronautique navale et l’ALAT.

Vous choisissez naturellement la plus belle et en novembre 1959, vous franchissez le poste de garde du CISALAT à Essey-lès-Nancy avec un contrat de trois ans en poche, mais vous ne quitterez l’ALAT que 36 ans plus tard, terminant votre dernier vol militaire à 23h30, soit 30 minutes avant la prise d’armes marquant la fin officielle de votre carrière.

Breveté pilote avion vous rejoignez le GALAT 3 à Chéragas près d'Alger le 3 février 1961. Vous effectuez des missions de liaisons au profit de l’Etat-Major d’Alger et des missions opérationnelles sur Piper L 18, L 21, et NC 856, l'avion le plus bizarre qui ait existé !

Après le 19 mars, vous effectuez la surveillance pendant tout le mois de mai 1962 du port d’Alger pendant l’embarquement des Français « pieds-noirs » chassés d’Algérie, spectacle insoutenable qui vous marque à vie. Vous avez aussi mission de convoyer six avions ALAT vers la France, via l'Espagne. Vous rejoignez définitivement la métropole aux commandes du dernier le 19 octobre 1962.

D’octobre 1962 à mai 1964, vous êtes affecté à l’escadrille de Blida à qui est confiée la mission de soutien des essais nucléaires à partir de Im Amguel. Vous rentrez en France au GALAT 15 à Valence, passez le brevet IFR, rejoignez Pau en 1970, obtenez la qualification PUMA puis êtes affecté à Djibouti de 1972 à 1974, puis à Pau, puis de nouveau Djibouti en 1977, Phalsbourg en 1978, Djibouti en 1980, Pau en 1981, Djibouti en 1984, Pau en 1985, Ndjamena en 1987, Phalsbourg en 1989 puis Le Luc où vous terminez cette carrière au service de l’ALAT, votre passion.

Une longue carrière au cours de laquelle vous avez piloté des Piper L 18, Piper L 21, NC 856, (l'appareil qui faisait peur à tout le monde), Nord 3200, Nord 3400, Bell 46,  Alouette 2, Alouette 3, Sikorski H 19, Vertoll H21 Banane, Puma. Vous avez été engagé dans de multiples opérations depuis l’Algérie aux commandes de ces appareils. Vous avez terminé votre carrière avec 10 734 heures de vol.

Ici s’arrête le rappel de votre carrière exceptionnelle, parce que ce sont les multiples aventures que vous avez vécu, les multiples exploits que vous avez réalisés que vous avez choisi de conter sur les réseaux sociaux, par de brèves et courtes, mais régulières interventions, mêlant photographies et souvenirs, commentaires techniques, géographiques, humains.

Cette façon de conter votre carrière a ainsi ouvert un espace de dialogue et de témoignages.  Vous vous êtes ainsi totalement adapté aux nouveaux moyens de communication.

Ce sont ces nouveaux moyens de communication que nous avons voulu mettre en avant et valoriser. Ils sont très appréciés par la jeunesse, mais, lorsqu’il s’agit de mémoire, ce sont les Anciens qui doivent y contribuer. Et vous le faites.

A travers cette distinction, récompensant une très longue et ancienne carrière, nous voulons justement encourager les contributions à l’espace de dialogue et de mémoire que constituent les réseaux sociaux.

Et nous remercions aussi et surtout ceux qui construisent ces réseaux sociaux. La dynamique équipe de bénévoles du site internet ALAT.FR, qui nous reçoit aujourd’hui. Elle tient également une page Facebook, nous pensons aussi à la page de Jean-Jacques Chevalier. Et nous encourageons tous ceux qui tiennent des passionnantes chroniques sur les réseaux sociaux à interagir avec ce site et ces pages officielles pour qu’une diffusion de l’information dense, régulière, originale, donne à l’histoire de l’ALAT toute l’importance qu’elle mérite.

Mais n’oublions pas le rôle central que tient depuis des décennies notre revue papier Inch’ALAT, devenue Béret Bleu Magazine.

Faisons l’effort de contribuer à tous ces sanctuaires de notre histoire et encourageons sans relâche nos amis à y contribuer.

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Prix littéraire UNA-ALAT 2022

À Jean-Charles Alléonard pour son livre "Une vie sous l'uniforme", chez amazon

 

Jean-Claude Allard EA.ALAT, le Cannet des Maures le 17 novembre 2022

 

Nous sommes heureux de le remettre à l'un des nôtres qui a servi dans l'ALAT depuis 1974 et qui a terminé sa carrière active à une date que ni vous, ni moi n'allons rappeler puisqu'une carrière d'aérocombattant ne cesse jamais dans le cœur.

Ce prix parce que dans votre livre autobiographique, vous décrivez simplement et claire­ment, à travers le récit de vos différentes affectations l'organisation et le fonctionnement de l'ALAT. Le Sème GALREG en 1974, suivi d'un stage officier à l'Ecole d'application du train avec le béret bleu, le 3ème RHC, l'EA.ALAT, le 4ème RHCM, à nouveau l'EA.ALAT puis l'Etat­major de la 4ème DAM avec un séjour à la division multinationale sud-est en Bosnie. Vous décrivez avec précision et pédagogie ces différentes unités. Mais, sur les 260 pages de votre livre, seulement 40 sont consacrées à l'ALAT.

C'est pourquoi, je rappelle ici aux esprits chagrins que nous décernons le prix littéraire de l'UNAALAT. Et c'est bien cette dimension littéraire, c'est-à-dire autant la qualité du style que la portée émotionnelle du texte que nous saluons aujourd'hui. Nous avons entre les mains le témoignage émouvant d'un orphelin qui endosse à sept ans l'uniforme comme élève de l'école enfantine Herriot pour construire avec talent et opiniâtreté une carrière au service de la France.

Et cette France, notre France si douce de nos années passées, vous là faites vivre à travers une étonnante galerie de portraits et de lieux. Une description qui est à la hauteur de nos romanciers, Balzac pour les descriptions méticuleuses, et plus encore Louis Pergaud, Bernard Clavel, Marcel Aimé pour le regard porté sur nos campagnes et les personnages qui les font vivre. De multiples portraits finement décrit! dont l'un attire mon attention. Ce n'est pas votre personnage préféré, mais je crois que vous devriez malgré tout le remercier car il vous a fourni l'occasion d'un magnifique portrait. Je parle ici de « Pète-sec, fier comme un caniche sortant du toilettage », celui que vous sur­nommiez « l'homme et les les gants », qui chevauchait journellement sa Terrot 125 cm3, « cigarette au bec et képi visé sur le crâne ». Mais à côté de ce personnage combien de grandes âmes, dévouées, attendrissantes, attentionnées ! Il n'y a qu'une urgence, lire et faire lire cc livre pour faire comprendre aux Français ce qu'était et devrait encore être la France, avec ces Français dévoués aux autres et à la Patrie ce dont témoigne Jean-Charles Alléonard par l'écriture mais aussi par son comportement personnel et par le dévouement de sa famille ses parents dont le père gendarme a été tué en service, son grand-père combattant de la Grande guerre, mais aussi les mères, grands mères et toutes les femmes de la famille.

Témoins qu'il nous faut remercier, témoins qu'il nous faut faire vivre et revivre dans notre pays divisé. Je prends ce livre de mémoire comme un livre d'espoir, d'espoir pour tous ceux qui, devant les difficultés choisissent non la facilité de la plainte, mais le travail et l'honneur. Vous en êtres l'exemple, merci cher ami aérocombattant et combattant de la vie de nous avoir donné cette leçon de vie.

Nota : Cet ouvrage a été préfacé par le GCA (2S) Jean-Marc RENUCCI, ancien Directeur Central du Matériel de l'Armée de Terre.

JC ALLEONARD à décidé de faire cadeau de ses droits d'auteur à l'Entraide ALAT

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Prix littéraire UNA-ALAT 2018

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Benjamin Guindre et Caroline Frinault pour "La nuit du Loup"

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Jean-Claude Allard, Responsable histoire/prix littéraire  UNA.ALAT, 1 juin 2018

Benjamin Guindre a vécu au sein de 3e RHC pendant deux ans (2015-2017) pour saisir l’âme d’un régiment d’hélicoptères. Il a observé, regardé, compris, mesuré et su dépeindre, par des photographies d’une grande qualité artistique, la multitude des gestes, engagements, passions qui font le ciment d’un régiment et sa solidité. Chaque geste, chaque métier de l’aérocombat est sublimé et l’ensemble est porteur d’un message fort : un régiment de l’ALAT est un bloc de granit dont la solidité repose sur la qualité de chaque grain, la conscience de la vitale utilité de chacun et la cohésion entre tous.

Dans son discours de remerciements, Caroline Frinault a souligné combien la rigueur professionnelle, la détermination, la volonté de tous les aérocombattants avaient marqué Benjamin Guindre et elle-même. Il faut en effet contempler chaque image, lire la concentration et la détermination sur les visages des aérocombattants engagés dans leurs missions, pour comprendre qu’un régiment , une armée de terre tire sa force des hommes et femmes qui les servent. Elles montrent combien l’exceptionnel est dans ce qui parait être les plus humbles taches. Nulle fonction, nul service, nulle unité du régiment n’est oublié. Tous les matériels et hélicoptères y sont dépeints en situation, et la franchise des témoignages des aérocombattants qui les servent leur donne toute leur valeur.

Un livre à posséder pour expliquer l’aérocombat d’aujourd’hui, ses dimensions techniques et tactiques, ses grandeurs et ses servitudes, à votre famille, vos amis, et à tous nos concitoyens afin qu’ils s’imprègnent de la prenante dimension humaine de notre ALAT et de notre armée de terre. Laissons le colonel Verborg, alors chef de corps du 3e RHC conclure «  Au final, l’auteur honore, rappelle et immortalise de manière inédite, par la seule force de l’image une aventure industrielle, aéronautique, humaine et opérationnelle exceptionnelle ». Un livre à mettre entre toutes les mains, et à reprendre cent fois pour méditer sur le dévouement de nos aérocombattants et le talent d’un photographe. 

Lumen&Verbum est une maison d’édition créée à l’occasion du projet Des hommes et des cimes.
Son nom fait référence aux deux arts qu'elle choisit de mettre en avant :

  • lumen (la lumière) pour la photographie,

  • verbum (le mot, la parole) pour l’écriture de type littéraire.

Diplômé de l’Ecole Technique de Photographie Appliquée de Toulouse en 2000,
Benjamin Guindre a commencé son activité professionnelle comme photo-journaliste pour la
presse quotidienne régionale (La Dépêche du Midi) et la presse magazine (arts martiaux, parapente).
Rapidement installé comme auteur photographe, il a effectué divers travaux de commande
pour des entreprises de l’industrie spatiale (groupe EADS Astrium, CNES) et des artistes créateurs (styliste mode, sculptrice, céramiste...).
En 2012, sa carrière prend un nouveau tournant avec le lancement de projets d'édition.

http://www.lumenetverbum.com/

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Lieutenant Malaury Viargot et le livre "devenez pilote d'hélicoptère de combat.
Insigne de brevet depilote ALAT
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Et si vous deveniez militaire ? Et si vous deveniez pilote au sein de l’Aviation Légère de l’Armée de Terre ?

Vous êtes bachelier ? La perspective de travailler sur un appareil innovant, d’effectuer des missions variées et enrichissantes au service de notre nation vous tente ? N’hésitez plus.

L’ALAT est l’arme qui met en œuvre près de 70 % du parc hélicoptères des Forces Françaises.
Forte de ses multiples spécialités telles que l’AEROCOMBAT ou encore le VOL TACTIQUE : elle recrute, forme, et emploie ses hommes et femmes aux commandes d’aéronefs de nouvelle génération tels que le NH90 CAIMAN ou le H665 TIGRE.

Dans cet ouvrage, le sous-lieutenant Malaury Viardot, pilote Gazelle au 1er Régiment d’Hélicoptères de Combat à Phalsbourg, témoigne de son parcours, depuis l’émergence de l’idée d’être un jour pilote à l’obtention du brevet en passant par les différents tests de sélection et autres formations militaires et aéronautiques dispensées au 4e Bataillon de l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr Coëtquidan, à la Base École du Général Navelet à Dax et à la Base École du Général Lejay au Cannet-des-Maures pour la spécialisation sur hélicoptère d’arme.

« En plus d’une véritable carrière militaire, c’est une formidable aventure humaine marquée par la valeur d’un engagement au service des armes de la France qui s’offre à vous ».

Editions CEPADUES
111, rue Nicolas Vauquelin
31100 Toulouse

Tél : +33 (0)5 61 40 57 36
Fax : +33 (0)5 61 41 79 89
Mail : cepadues@cepadues.com

 

 

 

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Lieutenant-colonel JOUSSEAU de la BRETESCHE pour le film de présentation de l’ALAT,

SIRPA TERRE,

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Editions CEPADUES

111, rue Nicolas Vauquelin31100 Toulouse

Tél : +33 (0)5 61 40 57 36Fax : +33 (0)5 61 41 79 89Mail : cepadues@cepadues.com

http://www.cepadues.com

Nés initialement des seuls besoins de l’artillerie, puis de ceux du combattant terrestre de s’affranchir des contingences du terrain, les moyens aériens de l’armée de Terre furent rapidement structurés par les opérations sur les théâtres indochinois et algériens. En 1954 fut créée officiellement l’Aviation légère de l’armée de Terre qui, présente depuis sur tous les théâtres d’opérations, sut sans cesse renouveler et adapter ses modes d’action. Une maturation qui a fait évoluer cette arme de l’aéromobilité à l’aérocombat, aujourd’hui atout décisif des forces. Initialement équipée d’avions légers, l’ALAT allait participer à l’évolution fulgurante de l’hélicoptère et en particulier à l’élaboration de ses concepts d’emploi.

Ce livre, dont la préface est signée par le Général de la Motte (COMALAT), s’inscrit dans la nouvelle collection AéroFocus de l’éditeur toulousain Cépaduès, et nous propose un panorama des différents aéronefs classés par thème. Il nous emmène de l’avion d’observation et de liaison, dont la mise en œuvre sur le terrain débute avant la création de l’ALAT, jusqu’aux dernières évolutions des hélicoptères, les «HNG». Il n’oublie pas de citer certains appareils dont l’emploi ne fut effectué qu’au titre d’expérimentations, mais aussi les drones qui participent, à leur manière, à cette maîtrise par l’armée de Terre de la troisième dimension. A la suite d’une longue introduction qui retrace principalement l’histoire de l’ALOA et de l’ALAT, quarante-six aéronefs sont chacun présentés à travers un historique et une fiche technique. Le résultat est un livre synthétique mais dense de 105 pages (17 par 24), illustré par de nombreuses photos.
L’auteur, Lionel Chauprade, est pilote de ligne au sein de la principale compagnie régionale française. Par ailleurs, réserviste de l’armée de Terre, il sert sous ESR au COMALAT, et s’intéresse aux traditions de cette arme jeune mais à l’histoire très riche. Il se passionne aussi pour les drones sur lesquels il a publié un ouvrage chez le même éditeur. Enfin, il fait partie de l’équipe de rédacteurs du magazine Aviasport depuis à présent quinze ans.

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Auteur : Frédéric Gout

Editions : Tallandier

Parution : 26 février 2015
PRIX public TTC : 18,90 €
Nombre de pages : 256
ISBN : 9791021008557

Le succès de l’opération Serval contre les djihadistes au Mali est un des plus brillants faits d’armes de l’armée française, justement salué par tous les experts militaires. Le journal de guerre de cette victoire par le commandant du groupement d’hélicoptères de la brigade sur le terrain révèle aussi les graves lacunes de notre outil de défense, usé par des années de réduction d’effectifs et de moyens.

Avec ce nouveau témoignage sur l'opération Serval au Mali, le colonel Frédéric Gout, commandant du groupement d'hélicoptères présent au sein de la brigade française, nous livre une chronique des opérations et de ses rencontres depuis la capitale Bamako jusqu'à Tessalit dans le nord du pays en passant par Tombouctou. Incontestablement, l'opération Serval a été une réussite. Les djihadistes qui voulaient conquérir le Mali ont été défaits et les soldats français, maliens et tchadiens sont allés les déloger de leurs bases arrière dans le nord du pays. Mais son témoignage en dit surtout long sur l'état de l'armée française et sur ses lacunes révélées crûment par le déroulement de cette guerre menée dans l’urgence.

Dès le début de son récit avec le lancement des opérations, les faiblesses de la logistique de notre armée apparaissent au grand jour. La France souffre d’une pénurie criante d'avion gros-porteurs, et ce malgré l’appui de l’allié américain et la location d’avions de transport Antonov ukrainien pour pallier les déficiences de l’armée de l’air. Frédéric Gout raconte qu'à son arrivée il a dû attendre plusieurs jours ses munitions, alors que l'état-major parisien réclamait à corps et à cri des « reconnaissances offensives » pour localiser et détruire les djihadistes infiltrés près de la capitale malienne. Des ordres que le colonel recevait parfois sur son téléphone portable personnel, faute de matériel de communication suffisant...

Plus prosaïquement, il n’y a qu’un lit pour deux hommes et aucun WC de campagne, le système D français étant chargé de pallier ces manques criants. Pendant une bonne partie des opérations, l'approvisionnement en kérosène est une épine dans le pied du colonel Gout qui se demandera parfois s'il aura les moyens de faire voler ses hélicos. Le salut viendra finalement de l'armée algérienne qui mettra à disposition des citernes de carburant.

UNE RECHERCHE PERMANENTE D'ÉCONOMIES
Le déploiement des hélicoptères de combat Tigre, les plus modernes et les plus redoutables des appareils du groupement aéromobile (GAM) ont également représenté un casse-tête pour le groupement. Il n'y a dans l'armée française que trois lots de déploiement comprenant les outils et les pièces de rechange nécessaires à leur maintenance. Au moment du lancement de Serval, l'un se trouve en Afghanistan, le deuxième au large de la Somalie où les forces spéciales viennent de tenter de délivrer un agent de la DGSE et le troisième au Burkina-Faso où sont basée des forces spéciales pour les opérations dans le nord du Mali. Frédéric Gout doit donc baser ses Tigre au Burkina, entre 500 et 1000 kilomètres des premières opérations.
Autre élément révélateur de la grande misère de l’armée française, la recherche permanente d'économies dans l'utilisation du matériel. Si le nombre d'heures de vol au Mali n'est pas restreint, en contrepartie, les régiments d'hélicoptères restés en France doivent limiter drastiquement les vols afin d’éviter d'user le matériel pour rester dans le cadre étriqué du budget affecté à la maintenance et à l’entraînement des équipages.

L'ÉTAT-MAJOR ET LES CABINETS MINISTÉRIELS POUSSENT DES HAUTS CRIS
Et quand deux Tigre ont le malheur d’être atteints par des tirs de kalachnikov djihadistes, l'état-major et les cabinets ministériels poussent des hauts cris : comment a-t-on pu laisser endommager ces bijoux de technologie valant près de 30 millions d’euros par des armes de quelques centaines de dollars ? Le colonel Gout devra fournir des explications détaillées sur les circonstances de cet incident et protéger ses hommes de ces remous budgeto-politico-militaires... Libérer Tombouctou est un livre document qui intéressera tous ceux qui veulent comprendre les dessous d'une opération militaire et découvrir l'armée française de l'intérieur. Même si on peut regretter que ce récit ne s'accompagne pas d'une mise en perspective de l'opération Serval dans son ensemble, ce journal de guerre est riche d'enseignements, sur l’excellence de nos soldats et de ceux qui les commandent ; mais surtout il en dit long sur le triste état de l'armée française laminée par les coupes budgétaires des derniers gouvernements de gauche comme de droite.

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Auteur : Général de division Yann Pertuisel
 

Les droits de l’auteur sont reversés à l’Entraide ALAT

Le livre (27 euros) peut être commandé en ligne chez Economica www.economica.fr

 

Economica, 49 rue Héricart, 75015 Paris.

Afghanistan, République de Côte d’Ivoire, Libye, trois théâtres d’opérations bien différents qui ont mis en évidence le rôle déterminant tenu par les hélicoptères dans les guerres modernes.

 

En 2011, les « bérets bleus » de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) étaient présents sur tous ces fronts, aux côtés de leurs camarades de l’armée de Terre et des autres armées. « De la terre, par le ciel », pilotes, mécaniciens, contrôleurs ou encore gunners nous font vivre leur engagement. Ils nous font partager l’intimité de leur quotidien en opération, la fraternité d’armes qui les unit, leurs émotions, les doutes et la peur qui les envahissent parfois, et surtout la fierté de servir leur pays pour la défense de la Paix et de la Liberté. C’est dans les provinces de Kapisa et de Surobi, à Kaboul, au-dessus d’Abidjan où règne le chaos et à partir d’un bateau « perdu » en pleine Méditerranée qu’ils nous font vivre leurs combats. Loin de leurs familles, ils y auront écrit une nouvelle page glorieuse de la jeune histoire de l’ALAT.


 

Dédicace à nos familles

Je souhaite dédicacer ce livre aux familles des militaires qui ont été engagés au combat ces dernières années, qu’ils soient de l’armée de Terre ou des autres armées, et qui le seront encore demain, là où la France ordonnera à ses enfants d’aller.

 

Les familles jouent en effet un rôle majeur dans l’engagement d’un fils, d’une fille, d’un frère, d’une sœur, d’un mari, d’une épouse, d’un père ou d’une mère. S’ils peuvent ainsi Servir leur Pays comme ils le font, c’est en grande partie parce qu’ils savent que ceux qui leur sont si chers sont là pour les soutenir sans faille.

Ces familles, ces épouses et ces enfants n’ont rien demandé, et surtout pas qu’un papa ou qu’une maman parte faire la guerre, avec tous les risques associés. J’ai malheureusement trop souvent eu l’occasion dans ma carrière de rencontrer certaines d’entre elles lors des hommages rendus à nos camarades tombés au combat au nom de la France. Elles sont admirables de dignité et de courage. Elles forcent le respect et méritent toute notre admiration et notre reconnaissance.
Tous les « bérets bleus » dont il est question dans ce livre, tous leurs camarades, tous ces hommes et ces femmes n’ont jamais cessé de penser à leurs proches qui attendaient avec impatience et anxiété leur retour en France pour encore partager ensemble des moments de bonheur. Depuis l’Afghanistan, Abidjan et la Méditerranée au large de la Libye en 2011, le téléphone ou Internet auront été le cordon essentiel pour maintenir leur moral au meilleur niveau.
C’est devant les familles de sept de nos camarades tombés au Champ d’Honneur que Monseigneur Luc Ravel, évêque aux armées, prononça ces mots le 20 juillet 2011 lors de la célébration qu’il présida à la chapelle Saint-Louis des Invalides.
« … être militaire ce n’est pas d’abord être disponible ou même porter les armes. Etre militaire, c’est avant tout ne plus s’appartenir, ni même appartenir à sa propre famille : j’ai conscience de la dureté de ces propos en présence de nos familles éprouvées par le deuil. Etre militaire s’est appartenir à la Nation. Exister et agir pour Elle. Vivre et mourir pour Elle ».

Merci à nos familles ! La France vous doit aussi beaucoup !

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Auteur : Général de division André Martini
 

Les droits de l’auteur sont reversés à l’Entraide ALAT

L’ouvrage peut être commandé directement aux éditions Lavauzelle :

Le  Prouet

BP8

87350 PANAZOL

L’édition originale étant épuisée et pour satisfaire de nombreuse demandes, le général (2S) André Martini vient de faire paraître aux éditions Lavauzelle une nouvelle version de son histoire de l’ALAT qui prend en compte les évènements intervenus entre 2005 et 2013.
 

Préface du GDA Bertrand Ract Madoux

Depuis plus de soixante ans, l’armée de Terre bénéficie, avec son aviation légère, d’un outil de combat de premier plan. Initialement employé comme moyen d’observation d’artillerie en Indochine, l’hélicoptère crée en Algérie le choc et la surprise en conférant au combattant à pied une mobilité jusque-là inégalée. La guerre froide modernise à nouveau son concept d’emploi en l’élargissant au combat anti-char autonome. En constante mutation, l’aviation légère de l’armée de Terre intègre aujourd’hui l’aéromobilité dans la manœuvre interarmes, jusqu’au plus bas échelon tactique. L’avènement de l’aérocombat combine les modes d’action aéromobiles à ceux de toutes les autres fonctions opérationnelles. Confondant les lignes d’horizon des hélicoptères et des forces au sol, l’aérocombat s’impose incontestablement comme un facteur décisif permettant d’emporter la décision, au ras du sol et au cœur des opérations.
  Les appareils de dernière génération, l’hélicoptère d’appui Tigre et le NH 90, constituent indubitablement des atouts majeurs dans ce domaine. Leurs remarquables performances techniques contribuent à donner à l’aérocombat toute sa dimension.
  Mais il faut surtout des pilotes compétents et courageux, et autour d’eux des techniciens rigoureux, car la mission de l’aviation légère de l’armée de Terre consiste bien, aux côtés de leurs camarades au sol, à engager le combat, au contact de l’adversaire. Ces dix dernières années, en Afghanistan, en République de Côte d’ Ivoire, en Libye, en Somalie et au Mali, ces soldats ont montré combien ils étaient animés par un sens poussé du devoir et un dévouement extrême. Le sacrifice de certains d’entre eux montre aussi combien les risques et les dangers sont également partagés entre tous les combattants des forces terrestres.

 La nouvelle édition de « l’Histoire de l’aviation légère de l’armée de Terre » nous propose un survol approfondi et actualisé de cette épopée. Le récit passionnant auquel nous convie le général André Martini rend d’abord un bel hommage à tous ceux qui ont contribué à forger cet outil de combat, pilier inhérent à l’efficacité des forces terrestres. Cet ouvrage constitue aussi un beau témoignage de fidélité et d’attachement aux valeurs de l’armée de Terre, dont l’aviation légère demeure un des plus beaux joyaux.


  Le général d’armée Bertrand Ract Madoux
Chef d’état-major de l’armée de terre

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Auteur : Brice Erbland
Editions "Les Belles Lettres"
Collection Mémoires de Guerre
ISBN-102-251-31004-5

Pour la première fois, un officier français ayant combattu en Libye et en Afghanistan livre son témoignage sur ces deux conflits. Le capitaine Brice Erbland, chef de mission et pilote d'hélicoptère de combat Tigre, machine ultra sophistiquée à la puissance de feu dévastatrice, dévoile dans ce livre son journal de guerre. Dans les griffes du Tigre nous emmène des montagnes d'Afghanistan aux missions de destruction des forces kadhafistes sur le littoral libyen. Engagé à la pointe des combats sur ces deux théâtres d'opérations de l'armée française, les sentiments de Brice Erbland ne sont pas différents de ceux des autres auteurs que Les Belles Lettres ont choisi de publier dans la collection "Mémoires de guerre": il y a la peur, le courage, la douleur de perdre des camarades, celle de quitter les siens mais aussi le terrible moment où du haut du ciel, on tue sa cible quand elle s'encadre dans la lumière verte du viseur, avant que les flammes du canon ne la détruisent.

Interview

Du cockpit du Tigre à l’écriture… c’est un drôle de parcours, non ?
Dans son livre, "Dans les griffes du Tigre", le capitaine Brice Erbland, pilote d’hélicoptère de combat dans l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT), nous entraîne de l’Afghanistan à la Libye. Une approche pas banale, un témoignage sans détours, sur le militaire en opérations extérieures. L’auteur raconte comment le soldat doit savoir faire face avec les forces et les faiblesses de son état d’homme : courage, grandeur d’âme, combativité, mais aussi doute, peur de mourir et sacrifice personnel…
 
"Aujourd’hui c’est la sortie en librairie de votre livre, premier témoignage grand public, il faut le souligner, d’un pilote d’hélicoptère de combat, que ressentez-vous ? "
"C'est en tout cas" le premier témoignage contemporain de retour d’opérations extérieures et le premier témoignage d'un pilote Tigre ! Alors, oui, beaucoup d’excitation et aussi un peu d’anxiété : se mettre ainsi à nu, dévoiler ses moments les plus forts, souvent cachés d’ailleurs, mettre en mots les maux du combat, ce n’est pas évident ! J’espère simplement que l'accueil sera bon. Le but de ce livre est de montrer au grand public ce que nos équipages, nos soldats, vivent et réalisent en opérations de guerre, de nos jours. J'espère y être parvenu de façon intéressante."
 
"Un tel livre sur des sujets aussi sensibles que l’intervention de l’armée de Terre a-t-il été un exercice difficile ? "
"Difficile ? Je dirai plutôt parfois douloureux. J'ai donné les détails qui me paraissaient nécessaires à la compréhension des réactions humaines qui découlent de ces opérations. Ce n'est pas un livre d'histoire, ni une analyse tactique des opérations. Ce n’est pas un récit chronologique, mais j’ai voulu embarquer les lecteurs dans mon cockpit leur faisant partager mes impressions, mes sentiments, enfin tout mon vécu ! Et je tiens à le préciser, aucune auto censure ni de consignes données par la hiérarchie… "
 
"Vous parlez beaucoup de la peur, du courage de la mort dans les griffes du Tigre : comment, de retour de mission, vivez-vous cela ? "
Il est en effet difficile de revenir à la réalité ! On a l’esprit rempli d’images dramatiques, le cœur lourd de sentiments, le corps lessivé par des mois de conditions de vie spartiates …et là, on réalise à quel point c’est dur ! On a vécu ce que j’appelle des moments de chocs émotionnels inévitables qui marquent le cœur et l’âme à jamais…
 
"Un dernier message à délivrer dans votre livre ? "
"J’aimerais juste faire découvrir l’intensité de la vie d’un pilote de l’ALAT … et pourquoi pas si mon témoignage pouvait susciter des vocations…j’aurai ainsi accompli mon devoir ! Il faut savoir qu’avec un simple bac en poche, il suffit pour un jeune attiré par le métier de pilote, de se présenter aux tests de sélection de Vincennes …et après la formation… en vol pour l’aventure humaine ! "

Le Clemenceau et l'ALAT dans l'OPEX Salamandre.

 

En août 1990, faisant suite à l’invasion du Koweït par les troupes irakiennes, le Président de la République François Mitterrand décide l’envoi d’un corps expéditionnaire en vue de permettre au petit émirat de recouvrer sa souveraineté mais aussi de protéger les frontières de l’Arabie saoudite.

C’est le 5ème Régiment d’Hélicoptères de Combat qui est désigné. Il embarque sur le porte-avions Clémenceau afin de participer à l’opération Bouclier du Désert déclenchée quelques jours plus tôt par les troupes américaines.

Cette Opération portera le nom de « Salamandre ».

 

A l’époque des faits, l’auteur, Gérald COCAULT dit CO², est Pilote Chef de Bord sur Gazelle en Escadrille d’Hélicoptères de Reconnaissance. Il vous livre ici le récit de cette épopée des temps modernes, mélange de vie à bord, d’entraînement intensif le long d’une route maritime qui part de Toulon jusqu’aux portes du détroit d’Ormuz en passant par Djibouti et les Emirats Arabes Unis pour débarquer à Yanbu’, port saoudien situé le long des côtes de la mer Rouge.

Pour le général de Corps d’Armée (2S) Georges Ladevèze, le récit de Gérald COCAULT "illustre bien les perceptions d’un groupe de jeunes sous-officiers pilotes, avec leur jeunesse, leurs incompréhensions, leurs angoisse, mais aussi leur enthousiasme et leur passion pour leur métier."

ISBN 978-2-8106-2329-7

Couverture souple, 400 pages

27 euros

On ne présente plus Yves Le Bec aux amateurs de BD aéronautiques, son coup de crayon et sa plume savoureuse ont fait mainte fois le tour de l'hexagone et ses albums sont dans les bibliothèques de tous les alatmen.

Certains ignorent peut-être encore que durant la guerre d'Algérie il était pilote dans notre Arme. Ce sont ses souvenirs qu'il a couché sur le papier pour nous faire vivre la vie d'un peloton avion.

Du CIS.ALAT de Nancy au peloton avions de la 5e DB, à Mostaganem, en Algérie, en passant par l'école de Finthen, en Allemagne.

Il y croque les petits faits et gestes de ses camarades et peint avec minutie la vie et le travail au sein d'un peloton en Algérie, sans être répétitif ou lassant.

Le tout est agrémenté par de nombreuses photos, dont beaucoup en couleur, et, bien évidemment par de nombreux croquis.

Format 21 x 29,7 cm
132 pages tout couleurs
Plus de 180 illustrations
32 €
ISBN :978-2-918015-15-4

On connait tous Pierre Jarrige à travers ses impressionnant diaporama sur toutes les formes de l'aéronautique en Algérie. Travail remarquable de recherche et de mise en ligne de photos historiques retraçant toute la vie aéronautique de cet ancien département français
Alain Crosnier, historien, est lui aussi bien connu des fanas de tous ce qui vole.
Ce livre est un inventaire des moyens matériels mis en œuvre par l’ALAT en AFN. Il recense les avions et hélicoptères affectés aux différentes unités et les dates d’utilisation. Il est abondamment illustré de photos, pour la plupart inédites, recueillies auprès des anciens dont la participation est essentielle pour la sauvegarde de notre patrimoine collectif. Alain Crosnier, historien bien connu de la guerre aérienne en Algérie a apporté un soin particulier à la précision des commentaires.
Tous les aéronefs utilisés sont concernés et un chapitres est consacré à l’évolution de l’armement des hélicoptères et aux essais, du Bell jusqu’au H-21, conduisant à la formule de l’Alouette II armée.
Deux autres livres sont en préparation concernant le GH 2 et les Pelotons d’AFN, en collaboration avec Christian Malcros dont le site www.alat.fr est apprécié de tous.

 

Un livre de 86 pages, 300 photos en noir et blanc ; 28,00 € port compris, chez l'auteur.

Pierre JARRIGE -  SaintFerréol - 31250 REVEL
jarrige31@orange.fr
www.aviation-algerie.com

Hélicoptères - La genèse, de Léonard de Vinci à Breguet

Bernard Bombeau

Editions Privat

ISBN 127-0899-2058

Bernard Bombeau, chroniqueur dans Air et Cosmos, n’est pas un banal journaliste mais un véritable passionné d’aéronautique et un excellent spécialiste des voilures tournantes. Depuis plus de dix ans, il s’est attaché à réunir une énorme quantité de documents pour la synthétiser en un livre extraordinaire.

Il s’engage sur les prémices de la voilure tournante, et termine avec les premiers hélicoptères de la Seconde Guerre mondiale, vaste sujet, traité dans le détail.

Ouvrage volumineux, 364 pages en format 24x31, 86 magnifiques illustrations du peintre de l’Air, Jean Noël,  de nombreuses gravures d’époque, 142 photographies souvent inédites.

Combien de fans de l’aéronautique connaissent l’Aviateur, de Villard ? Qui connait l’hélicoptère Nieuport de 1914 ou le Vuia de 1919 ? Combien pourraient écrire deux pages à propos des travaux de Vuitton ? Qui s'est intéressé de près à Perrin et son Hélicion ?

Et puis il y a l'esthétique, ce livre est aussi un beau livre, qui se feuillette avec beaucoup de plaisir. Les illustrations de Jean Noël apportent une incontestable plus-value documentaire.

364 pages, 240 x 310 mm, relié + jaquette

60 €

LES AGITES DE LA VOILURE

Yves Le Bec

 

Une galerie de portraits de 64 agités de la voilure tournante croqués par Le Bec (excusez ce jeu de mots), suivi de toutes les hélicos du Lieutenant Bleu Béret, du Hiller au NH 90 (2011).

Préface de Madame Valérie André, Médecin Général Inspecteur (CR), Neurochirurgienne, première Française pilote d'hélicoptère, première femme à effectuer des Evasan sous le feu ennemi et première Française ayant accédé au grade de Général.

Si vous avez le bonheur de trouver ce livre au détour d'une brocante, d'un vide grenier ou chez un bouquiniste, ne manquez pas cette occasion.
Si après l'avoir lu vous ne désirez pas le conserver faites nous signe nous sommes des dizaines à le rechercher ( moi en tête, mais chuuuut).

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